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  • Étude de cas : Le projet Pegasus

    Le projet Pegasus est un projet collaboratif unique en son genre auquel ont participé plus de 80 journalistes travaillant pour 17 médias dans 10 pays, coordonné par Forbidden Stories, média à but non lucratif basé à Paris, avec l’aide technique du Security Lab d’Amnesty International. Le Security Lab a réalisé des analyses scientifiques à la pointe de la technologie sur des appareils mobiles pris pour cible, confirmant de nombreux nouveaux cas d’attaque du logiciel espion Pegasus.

  • Partenaires et assistance

    Le Security Lab propose une assistance en criminalistique numérique aux défenseur·e·s des droits humains et aux organisations de la société civile en danger. Si vous craignez que vous ou vos appareils ayez été pris pour cible par un logiciel espion, ou si vous avez d’autres inquiétudes liées à la technologie numérique, vous pouvez nous contacter.

  • Accueil

    Le Security Lab d’Amnesty International est une équipe multidisciplinaire de chercheurs et chercheuses, de pirates informatiques, de codeurs et codeuses, de responsables de campagnes et de militant·e·s qui œuvrent à protéger la société civile de la surveillance numérique illégale, des logiciels espions et d’autres atteintes aux droits humains permises par la technologie.

  • Glossaire

    Les spécifications techniques et les documents commerciaux des vendeurs de technologies de surveillance sont bien souvent gardés secrets. L’asymétrie qui en résulte en termes d’accès à l’information empêche les défenseur·e·s dans le domaine de la cybersécurité et les groupes de la société civile vulnérables de comprendre l’ampleur des menaces auxquelles ils sont confrontés. L’objectif de ces recherches est d’apporter des informations concrètes sur les capacités en matière de surveillance disponibles auprès des fournisseurs sur le marché des produits de surveillance. Nous espérons que ce rapport pourra être une ressource utile pour la communauté de la cybersécurité et pour les principaux fournisseurs d’appareils portables et de technologies.

  • Obtenir de l’aide – Assistance en criminalistique numérique

    Amnesty International a conçu une boîte à outils de vérification mobile (MVT), destinée à faciliter l’analyse scientifique consensuelle des appareils Android et iOS dans le but de trouver des traces de compromission. Sa maintenance est assurée par Amnesty International et d’autres contributeurs.

  • Bourse en criminalistique numérique

    La Bourse en criminalistique numérique (DFF) offre la possibilité aux défenseur·e·s des droits humains travaillant sur des sujets mêlant droits fondamentaux et technologie d’accroître leurs connaissances en matière d’analyse d’appareils mobiles et de criminalistique numérique. Entre 2022 et 2024, le Security Lab a formé dix bénéficiaires venant de diverses régions du monde. Le programme de formation incluait notamment des modules sur la recherche de menaces, l’analyse criminalistique sur appareils Android et iOS, ainsi que l’analyse des logiciels malveillants.

  • Nous contacter

    Le Security Lab d’Amnesty International œuvre à la recherche et la collecte d’informations sur les atteintes aux droits liées à des logiciels espions et aux technologies de surveillance, ainsi que d’autres menaces numériques auxquelles est confrontée la société civile. Si vous disposez d’informations pertinentes sur des abus de surveillance permis par la technologie, vous pouvez nous contacter en toute sécurité ci-dessous.

  • Campagnes

    Pour nombre d’entre nous, cette sensation désagréable d’être surveillé·e n’est que trop réelle. Après tout, nous vivons dans un monde de surveillance de masse, de la reconnaissance faciale à la surveillance sur Internet, dans lequel gouvernements et entreprises technologiques recueillent les données personnelles de milliards de personnes. La surveillance ciblée est légèrement différente. Il s’agit d’utiliser la technologie pour espionner certaines personnes en particulier. La surveillance ciblée peut comprendre le recours à des caméras cachées ou à des appareils d’enregistrement, ou le fait de suivre ou d’observer physiquement quelqu’un. Au Security Lab d’Amnesty, nous œuvrons à dénoncer la surveillance numérique ciblée, notamment celle menée au moyen de logiciels espions, de techniques de phishing ou d’autres attaques numériques. Des gouvernements du monde entier achètent et autorisent la vente de logiciels espions très perfectionnés qui peuvent compromettre les appareils numériques de n’importe quelle personne et surveiller ses activités. Ces outils sont conçus et vendus par des entreprises privées qui tirent des profits de violations des droits humains. Gouvernements et entreprises affirment que ces outils de surveillance sont nécessaires pour cibler « des criminels et des terroristes ». Mais en réalité, des dizaines de défenseur·e·s des droits humains, de journalistes et de nombreuses autres personnes, dont des membres du personnel d’Amnesty International, ont été pris pour cible illégalement par des logiciels espions.

  • Amnesty sur Tor

    Notre droit au respect de la vie privée et notre capacité à nous exprimer librement en ligne sont plus que jamais menacés. Des gouvernements utilisent des logiciels espions pour prendre pour cible des défenseur·e·s des droits humains, ainsi que des systèmes de censure sur Internet qui bloquent des sites Internet entiers portant sur les droits humains. D’ailleurs, les sites Internet d’Amnesty sont complètement inaccessibles pour les personnes vivant dans des pays tels que la Russie, l’Iran et la Chine, simplement parce que nous osons dénoncer les violations des droits humains dans ces pays.

  • À propos

    Du Mexique au Maroc, du Viêt-Nam à la Hongrie, les pouvoirs publics déploient tout un arsenal d’outils en ligne sophistiqués pour épier illégalement des militant·e·s et des journalistes. Lorsqu’un gouvernement s’en prend aux personnes qui défendent nos droits, nous sommes tous et toutes en danger. Nous faisons campagne pour mettre fin à la surveillance illégale et ciblée qui vise les défenseur·e·s des droits humains.

  • Thaïlande. Avec le soutien de l’État, la violence numérique réduit au silence les femmes et les personnes LGBTI militantes

    En Thaïlande, les femmes et les personnes LGBTI qui mènent des activités militantes subissent des attaques en ligne mêlant discours violents, propos misogynes, homophobes et transphobes, contenus sexualisés et d’autres formes de violence fondée sur le genre facilitée par la technologie, écrit Amnesty International dans un nouveau rapport publié le 16 mai 2024.

  • Monde. Une surveillance tentaculaire – Mise au jour d’un réseau obscur d’exportation de logiciels espions vers l’Indonésie

    Un large éventail de logiciels espions hautement intrusifs et d’autres produits de surveillance est importé et déployé en Indonésie, a déclaré ce 2 mai le Security Lab d’Amnesty International, à l’occasion de la publication d’un nouveau document d’information en collaboration des partenaires du monde des médias – Haaretz, Inside Story, Tempo, le collectif de recherche WAV et Woz.